Vendredi : Enfin, nous y sommes !

La foule des grands jours au Palais des Congrès, plein comme un oeuf !

Nous ne sommes pas très en avance et prenons place rapidement.

"Eh, ça y est, ça commence, chut! , nous sommes au concert pour de vrai,

pour de vrai ..."

L'instrument "fétiche" du grand Frédéric attend ses interprètes.

Anne Queffélec, I. Bar-Shaï, P. Giusiano, M.Kodama et El Bacha se sont succédés au piano pour interpréter la 3ème partie de l'oeuvre complète pour piano de F. Chopin.

Nous avons très bien reconnu la fameuse Valse en si mineur interprétée par Momo Kodama, que nous avons écoutée et dansée plusieurs fois à l'école.

Quand c'est l'heure, c'est l'heure : les paniers repas sont engloutis avec appétit.

Retour au calme avec Mélusine avant d'enchaîner le concert suivant.

Juliette Hurel à la flûte, Emmanuel Strosser au piano . C'est parti pour un programme assez éclectique allant de Mendelssohn à Bellini , en passant par un magnifique Nocturne de Chopin bien sûr!

Cette fois, nous sommes accueillis dans une petite salle de 80 places pour ce concert beaucoup plus intimiste qui a emballé la plupart des enfants. Je crois pouvoir dire que le charme et la bienveillance de Juliette Hurel à leur égard y est pour beaucoup.

Un petit goûter, histoire de reprendre des forces avant le dernier concert.

Emeric s'impatiente de voir s'installer l'orchestre. Margot jubile, la forme est revenue.

Le grand auditorium est plein à craquer, comme pour chacun des concerts de la journée.

Deux "zoulous" qui semblent un peu perdus au milieu de mélomanes extrèmement sérieux et déjà captivés. Pourtant l'orchestre s'accorde, le chef n'est pas encore apparu. Il est juste temps de se recentrer sur la musique qui va envahir la salle dans quelques secondes et happer l'attention de tous.

L' Ensemble Orchestral de Paris, Eric Le Sage au piano : une romance de Joseph Swensen, le chef de l'Ensemble Orchestral et qui est aussi compositeur, en première partie. Le Concerto pour Piano et orchestre de Robert Schumann que nous avons écouté plusieurs fois avec Armelle et dont nous savons reconnaître l'Allegro et le mouvement lent, en second partie.

Dans le TGV du retour, les garçons tapent le carton ...

... mais, il y a comme une petite fatigue chez certains ...

... et les filles chantent ... Chopin !